Marrakech est l’une des quatre villes impériales du Maroc.
L’importance de la ville est une conséquence de sa position géographique. Ici se rencontrent le Nord et le Sud du pays. Le Sahara est tout proche et l’océan Atlantique n’est guère lointain. De nombreuses routes s’y croisent et mènent aussi bien à Agadir qu’à Casablanca, Fès, ou Meknès.
Bien plus, Marrakech est tourné vers la montagne tout en s’ouvrant par le Tizi n’tast et le Tizi n-tichka sur le Sahara. Mais Marrakech c’est aussi une ville à l’histoire très riche. Pendant longtemps, elle a eu le privilège de donner son nom au pays tout entier. Sa fondation remonte, probablement, à l’an 1070.
Capitale Almoravide et Almohade, elle est délaissée par les Mérinides. Les Saâdiens lui font retrouver cette fonction mais les Alaouites tout en veillant au rayonnement et à l’essor de Marrakech, préfèrent Fès, Meknès ou Rabat comme capitale du royaume.
Abou Bakr le chef almoravide y a fait construire une Kasbah (Qsar Lahjar) dont les ruines ont été retrouvées au Nord de l’actuelle Koutoubia. Dès 1071, Youssef Ibn Tachfine prend en main les destinées de la ville et y fait édifier certains monuments. Il renforce son pouvoir aux dépens de son cousin Abou Bakr et étend son autorité au-delà des frontières du Maroc jusqu’à la péninsule Ibérique. Marrakech connaît un développement intense et bénéficie des relations économiques établies avec l’Espagne. A la mort de Youssef Ibn Tachfine, son fils Ali lui succède (1106). Il fait construire la célèbre mosquée Ibn Youssef et dote la ville d’une enceinte. Il crée un réseau de Khettara pour assurer l’approvisionnement en eau. Sous son règne, Marrakech prend l’allure d’une véritable capitale de l’Empire qui s’étend du Sahara à l’Ebre et de l’Atlantique à Alger. Le commerce prospère, l’artisanat se développe et la vie intellectuelle et culturelle s’intensifie. De toutes ces réalisations rien ne demeure.
La visite de la vieille ville et des souks peut commencer de la place de Jamaa Al Fna toute proche. L’animation qui règne dans la médina est surprenante.
Le quartier des souks peut être rejoint soit par la rue des potiers soit par celle des épiciers. Au fond, une porte donne accès au Souk Semmarine qu’occupent des marchands d’étoffes. A proximité, une ruelle bordée de boutiques d’apothicaires conduit à Rahba Kedima qui fut pendant longtemps un important marché de grains et d’esclaves.
Cette place est entourée du souk de la laine et du marché des peaux de moutons. Ensuite se présentent successivement Souk Zerbia et le souk des bijoutiers. Non loin se situe la qissariah où l’on trouve de tout. Le moderne y côtoie sans problèmes l’artisanal. La rue devient plus étroite et permet d’atteindre les souks des artisans à l’œuvre : maroquiniers, babouchiers, selliers, boiseliers, cordeliers, dinandiers.
Près du Souk Attarines, se tient le souk des teinturiers.
Sa visite est très agréable.
Ainsi, la visite de la partie Nord de la ville, qui comprend souks et monuments et de nombreux points d’intérêts, prend fin à Jamaa Al Fna.
Et il y a tout le reste, les merveilleuses portes : Bab Erraha, Bab Doukkala, Bab El Khemis, Bab Debbagh, Bab Aylen, Bab Aghmat, Bab Ahmar, Bab Ighli, Bab Ksiba, Bab Er Robb, Bab Echcharia, Bab El Jedid, Bab El Makhzen…, les mosquées, les Zaouias, les fontaines, les souks.
La place Jamaa El Fna
La place Jamaa Al Fna (place de la mosquée des trépassés) est une célèbre place publique, de forme triangulaire, au sud-ouest de la médina de Marrakech.
Ce haut-lieu traditionnel, populaire et animé notamment la nuit attire plus d’un million de visiteurs chaque année.
Jemaa el-Fna incarne la diversité de l’identité marocaine en raison de la présence de représentants des différentes cultures qui constituent le Maroc : Arabes, Berbères, Gnaouas.
« L’espace culturel de la place Jemaa el-Fna » est inscrit patrimoine culturel immatériel depuis 2008 (proclamation en 2001) et au patrimoine mondial depuis 1985 par l’Unesco.
Avant le 21ème siècle
Au 12ème siècle, la place Jemaa el-Fna était un lieu de justice où les peines étaient publiquement appliquées.
Dès la seconde moitié du 167me siècle, les activités et fonctions de la place ont évolué. Ainsi, elle est décrite par l’auteur espagnol Carvajal Marmol comme un lieu cosmopolite où règne une forte activité commerciale.
Pendant des siècles, la place Jemaa el-Fna s’est animée et s’est inscrite dans la culture du Maroc puisqu’elle est qualifiée de lieu de spectacle au 17ème siècle. Dès le 20ème siècle, de nombreux bâtiments sont construits et la place commence à prendre l’aspect de celle d’aujourd’hui.
Véritable Cour des Miracles, aux portes des souks de Marrakech, proche de la mosquée Koutoubia et du palais royal, cette place est une des principales attractions traditionnelles et historiques du tourisme au Maroc. Elle est animée d’une importante vie populaire de la fin de l’après midi jusqu’à l’appel à la prière à l’aube. Plus d’un million de visiteurs y passe chaque année et plus de 10 000 couverts y sont servis par jour.
En effet, en journée de nombreux forains, camelots et artistes de rue sont présents (cracheurs de feu, tatoueuses au henné, montreurs de singes, charmeurs de serpents, diseuses de bonne aventure, etc.), tandis que la nuit, c’est notamment des stands de restauration qui sont présents.
La « halqa » désigne le cercle de spectateurs autour d’un conteur et par extension le spectacle de rue lui-même. Les halqa peuvent être des spectacles d’acrobates, de conteurs, de danseurs avec leurs musiciens ou des comédies populaires plus ou moins burlesques. La première mention d’une halqa dans les chroniques sur la place remonte au XVIIè siècle. Certains spectacles ou contes sont restés fameux et ont contribué à la reconnaissance au patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
En 1985, la place Jemaa el-Fna est inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco dans le cadre de l’inscription de la médina de Marrakech. De plus, « l’espace culturel de la place Jemaa el-Fna » est inscrit patrimoine culturel immatériel en 2008 (proclamation en 2001) par l’Unesco.
La Koutoubia
La mosquée Koutoubia est un édifice religieux construit au 12ème siècle.
Elle est la plus grande mosquée de la ville. Son architecture et son décor ascétique reflètent l’art des Almohades.
Une première mosquée fut construite en 1148 par le sultan Almohade Abdelmoumen après avoir conquis Marrakech. Il reconstruira une deuxième version de taille semblable vers 1158. Celle-ci est la version actuelle, la première ayant été démolie. Yacoub Al-Mansour finalisera la construction du minaret vers 1195. La Koutoubia est considérée comme un important exemple d’architecture almohade et de l’architecture des mosquées marocaines de manière générale. Le minaret de 77 mètres est décoré de différents motifs géométriques et surmonté d’une flèche et d’orbes métalliques. Il a probablement inspiré d’autres bâtiments tels que la Giralda de Séville et la tour Hassan de Rabat, qui ont été construits peu de temps après à la même époque. Le minaret est également considéré comme un repère urbain et un symbole important de Marrakech.
Le nom Koutoubia vient du mot arabe kutubiyyin (كُتُبيين), qui signifie «libraires». La rue sur laquelle se trouve la mosquée servait de lieu de commerce de livres.
La mosquée se trouve à 200 mètres au sud de la place Jamaa El Fna, marché historique de la ville. Autour de la mosquée se trouve le cimetière Sidi Ali Bel Kacem, des jardins, le Parc Lalla Hasna et l’ancien consulat de France.
Le mausolée de Youssef Ben Tachfine, complété en 1126, se trouve au nord sur l’avenue Hommane Al Fatouaki.
Sur l’esplanade de la mosquée, on peut observer la Koubba (Dôme) de Lalla Zohra, tombe de Fatima-Ezzohra Bent Alkouch ou Alkouchia, sainte de Marrakech morte au 17ème siècle.
La mosquée et son minaret ont été restaurés à la fin des années 1990. En 2016, la mosquée a été équipée de panneaux solaires, de chauffe-eaux solaires et de lampes LED écoénergétiques dans le cadre d’un effort visant à augmenter l’utilisation d’énergies renouvelables dans les mosquées au Maroc
La mosquée des libraires a abrité jusqu’en 1962 un magnifique minbar, considéré comme l’un des joyaux de l’art marocain en matière de sculpture sur bois et de marqueterie.
Retiré de la mosquée en 1962 pour motif de préservation, il a fait l’objet en 1997-1998 d’une minutieuse restauration qui lui a permis de retrouver son éclat d’origine, il est aujourd’hui visible dans un petit bâtiment situé à l’angle nord-est du palais El Badi.
Palais Bahia
Le palais de la Bahia (Bāhiya, la belle, la brillante) est un ancien palais du 19éme siècle de huit hectares de style mauresque / islamique.
Actuel musée, il est un des chefs-d’œuvre de l’architecture marocaine et de l’art marocain, un des monuments majeurs du patrimoine culturel du pays.
On attribue à l’architecte Si Mohammed El Mekki (1857-1926), élève du capitaine Erckman, chef de la mission française à Marrakech, l’essentiel des travaux.
Ahmed ben Moussa (1841-1900, fils héritier successeur de Si Mussa au titre de grand Vizir) règne sur le Maroc de 1894 à sa disparition en 1900, en tant que régent du jeune Sultan Abd al-Aziz du Maroc (1878-1943). Durant son règne, Ahmed ben Moussa fait agrandir la partie sud de ce palais officiel, ou il réside avec ses quatre femmes officielles, son harem de 24 concubines, et leurs nombreux enfants. Le palais est baptisé du nom de sa maîtresse favorite, la Bāhiya « la belle, la brillante ».
Construit, décoré, et aménagé par les meilleurs savoir-faire des meilleurs artisans du pays de l’époque, avec des successions de nombreuses cours, cours d’honneur de 50 × 30 m, appartements, salons, chambres, enchevêtrés en labyrinthe, avec mosquée, école coranique, harem, hammam, écuries, jardin islamique, jardins andalou-hispano-mauresque, et fontaines, proche des « jardins du Palais de la Bahia » avec immense jardin potager et verger d’oliviers, palmiers, dattiers, grenadiers, pamplemoussiers, citronniers, et orangers…
À la disparition du Vizir ben Moussa en 1900, le jeune Sultan Abd al-Aziz du Maroc (1878-1943) débute son règne sur le Maroc. Il fait piller le palais, et instaure le protectorat français au Maroc, sous lequel le général Lyautey, résident général de France au Maroc, et futur maréchal de France, en fait son lieu de résidence personnel à partir de 1912, et une résidence d’officiers militaires français. Il y fait installer électricité, chauffage, et cheminées.
À ce jour, la palais est ouvert au public à titre de musée, ainsi que pour des concerts de musique arabo-andalouse, et pour des expositions d’art. La famille royale du roi du Maroc y séjourne parfois dans une importante partie privée non ouverte au public.
Le palais est étendu sur près de huit hectares, avec mosquée, mausolée, hammam, harem, écuries… Il est constitué d’une vaste succession d’environ 150 pièces richement décorées de marbre, de moucharabiehs, de sculptures et peintures sur bois de hêtre et de cèdre, de stuc, de zellige, des premiers vitraux du Maghreb, abritées dans des bâtiments hétéroclites, plusieurs fois modifiés au cours du temps, organisés autour de nombreuses cours, patios, jardin islamique et jardins andalou-hispano-mauresque verdoyants, luxuriants, rafraîchissants, plantés d’orangers, de bananiers, de cyprès, d’hibiscus, de jasmins…, irrigués par khettaras…
Détails d’art décorative
La Menara
La Menara est un superbe jardin planté d’oliviers.
Un bassin central de 200 mètres sur 150 reflète dans son eau tranquille le pavillon à toiture pyramidale de tuiles vertes construit près de lui.
Des poissons vivent dans l’eau du bassin !
Sa restauration remonte au XIXe siècle et fut réalisé par Sidi Mohamed Ben Abderrahmane.
La Medersa Ben Youssef
La médersa Ben Youssef est une médersa, école coranique, véritable joyau de l’architecture saadienne.
Elle est agrandie et redécorée par Abdallah el-Ghalib, sultan saadien, en 1564-65. Le nom Ben Youssef vient de celui du sultan almoravide Ali Ben Youssef.
Ses proportions et sa riche décoration en font un monument particulièrement harmonieux.
La médersa fut durant quatre siècles un foyer d’accueil pour les étudiants dans diverses sciences, notamment en théologie.
Elle disposait de 132 chambres destinées aux étudiants non originaires de Marrakech.
Bien que de petite taille, les 132 chambres pouvaient accueillir un ou plusieurs tolbas. Certaines disposaient de lits en mezzanine. Selon certains auteurs, la médersa aurait pu héberger jusqu’à 900 étudiants.
L’ensemble des façades intérieures, des murs intérieurs de la salle de prière, des piliers des cours intérieures, des poutres et plafonds sont richement décorés. Seules, les chambres sont d’une grande simplicité avec des murs nus.
De nombreuses inscriptions en langue arabe sont calligraphiées de plusieurs façons, sculptées dans le marbre, le bois de cèdre, le plâtre ou gravées sur les céramiques excisées. Elles peuvent l’être en caractères coufiques qui sont sobres, angulaires, géométriques. Il existe cependant une variante avec des pousses végétales, des palmes prolongeant les lettres constituant le coufique fleuri. Il peut aussi s’agir de l’écriture cursive aux lettres plus souples, s’entrelaçant dans des enchevêtrements sans fin et des arabesques.
Elles peuvent écrire le nom d’Allah, surtout sur les hautes frises. De nombreuses frises en plâtre sculpté ou en céramique excisée, à hauteur d’homme reprennent des citations du Coran.
Certaines inscriptions apportent des renseignements particuliers. Dans la cour, à hauteur d’homme, à droite lorsqu’on regarde la façade de la salle de prière, une frise en céramique excisée comporte l’inscription de datation de la médersa:
« … dans l’an deux, avec soixante-dix passés, après neuf cents ans écoulés. »
Soit l’année 972 de l’Hégire, correspondant à 1564-15657. Une inscription relative à la fondation est gravée sur le linteau en bois de la porte d’entrée, ainsi traduite1:
» J’ai été édifiée pour les sciences et la prière, par le Prince des Croyants, le descendant du sceau des prophètes, Abdallah, le plus glorieux des Califes. Prie pour lui, Ô toi qui franchit ma porte, afin que ses espérances les plus hautes soient réalisées. »
Les jardins Majorelles
Le Jardin, qui se déploie sur 9000 m2 aujourd’hui, est l’un des jardins les plus enchanteurs et mystiques du Maroc.
Créé en l’espace de quarante ans, l’ensemble, entouré de murs, consiste en un labyrinthe d’allées qui s’entrecoupent, de niveaux qui s’enchevêtrent et de bâtiments mauresques de style Art déco aux couleurs hardies. Le jardin est un gigantesque et opulent amoncellement de plantes et d’arbres exotiques provenant des contrées les plus lointaines, conçu à la fois comme un sanctuaire et comme un laboratoire par le peintre français Jacques Majorelle à partir de 1922.
En 1980, Yves Saint Laurent et Pierre Bergé, qui ont découvert le Maroc en 1966, rachètent le Jardin pour le sauver d’un projet de complexe hôtelier qui envisageait sa destruction.
Les nouveaux propriétaires décident d’habiter la villa de l’artiste Jacques Majorelle, rebaptisée Villa Oasis.
« Depuis de nombreuses années, je trouve dans le jardin Majorelle une source inépuisable d’inspiration et j’ai souvent rêvé à ses couleurs qui sont uniques ».
Yves Saint Laurent
Visite: de 8 à 18 heures (dernier accès à 17h30), entrée payante.
Site web: https://www.jardinmajorelle.com
Palmeraie de Marrakech
La palmeraie de Marrakech est une importante palmeraie du 11ème siècle du nord de Marrakech.
C’est un patrimoine naturel marocain de près de 100 000 palmiers, sur environ 15 000 hectares.
Gueliz
Le quartier de Guéliz s’étend au Nord Ouest de la Médina.
les grandes rues de Guéliz abritent des restaurants haut de gamme de cuisines marocaine et européenne, ainsi que des cabarets, des bars chics, des galeries d’art et des boutiques de mode grand public.
Compteur d’un taxi, une Dacia Sandero !
Vous cherchez quelqu’un ?
A visiter
A Marrakech:
• La Place Jamaâ El Fnaâ
• La Menara
• La Medina
• Chez « Ali » (restaurant, chants et danses, entrée payante)
• La Koutoubia
• La Palmeraie
• La Medersa Ben Youssef (ancienne école coranique)
• Palais de la Bahia
• Les jardins Majorelles
Autour de Marrakech :
• La Vallée de l’Ourika
• La station de ski Oukaïmeden
• Le désert d’Agafay (campement)
• Le barrage de Lala Takerkoust
• La cascade d’Ouzoud
• Randonnée et/ou ascension du Toubkal
Où dormir ?
Un charmant riad, à la décoration traditionelle, bien située dans la Medina et à moins de 5 minutes à pieds de la Place Jamâa El Fnaa: http://www.riadcroixberbere.com
Sur la route de la vallée de l’Ourika, Un hôtel alliant tradition et grand confort se présente sous la forme de 15 tentes caïdales : https://www.jardinsdissil.com/
Camp de tentes dans le désert d’Agafay !
Un calme absolu dans un cadre unique, dépaysement assuré: http://www.scarabeocamp.com
Où manger ?
Se restaurer directement à la place Jamaa El Fnaa qui s’éveille au coucher du soleil (tous les goûts, tous les budgets !).
Roulotte n°1 qui propose un peu de tout (tagine d epoiulet, fritures de poissons, soupe « hrira », …) et la roulotte n°66 qui propose du pain avec des pommes de terres, des oeufs, de l’huile d’olive… un régale !
Autres lieux de restauration conseillés:
Un très bon restaurant à conseiller, situé en face de la Koutoubia: Portofino (05 24 39 16 65 / 06 62 13 19 89)
Salon de thé « Kif kif » également en face de la Koutoubia
Restaurant « L’adresse » autour de la place Jamaa El Fnaa.
Ne pas rater les délicieux jus d’orange pressés tout frais !
Mon avis
La ville qui charme et envoûte tout ceux qui s’y aventurent.
Pas de haute construction, tout y est pratiquement « rouge ».
Des palmiers, des rues larges, des calèches, des hôtels de Luxe (Mamounia) et sa fameuse et unique Place Jamâa El Fnâa font de Marrakech la ville la plus touristique du pays.
Touristique et typique en même temps. Sa position « stratégique » est le point de départ de tout circuit vers le sud Marocain (Ouarzazate en traversant le col du Tichka).
La vallée de l’Ourika (au sud) n’est qu’à une heure de route.
Même timing pour le lac Lala Takerkoust.
Compter 3 heures pour la fameuse cascade d’Ouzoud (au nord).